Publié dans Société

Etablissement public - Un élève sur deux déjà victime d’harcèlement scolaire

Publié le mercredi, 03 mai 2023

Selon les résultats d’études publiés dans un rapport sorti par l’association Imasoivoho, le taux de harcèlement scolaire reste très élevé à Madagascar. 58% des élèves disent avoir subi des cas d’harcèlement à l’école. « Le harcèlement se définit par plusieurs formes de violences répétées qui peuvent être verbales, physiques ou psychologiques. La bousculade, se donner de surnom, les insultes, etc. Cela peut laisser des impacts négatifs sur le cursus scolaire de la victime. L’élève peut être toujours intimidé à l’école ou même au long de sa vie, être démotivé à étudier ou dans le cas extrême, l’enfant pourrait se donner la mort », explique le président de l’association. 

Pour lutter ou faire face au harcèlement scolaire, ladite association mène des sensibilisations dans les Ecoles primaires publiques (EPP) de la Circonscription scolaire d’Antananarivo-ville. Ils sont 384 écoliers, issus de 32 EPP, réunis autour de leur passion dans un tournoi de football, tous les mercredis jusqu’au 24 mai. En parallèle, ces jeunes bénéficient des sensibilisations sur la lutte contre le harcèlement scolaire. Le lancement officiel du tournoi a été honoré par Naina Andriamanday, adjoint au maire de la Commune urbaine d’Antananarivo, hier au Gymnase couvert de Mahamasina.

 

L.R

Fil infos

  • Actu-brèves
  • Districts de Vohibato, Ikongo et Ivohibe - Vers un avenir lumineux et développé
  • Soins de proximité - De nouveaux bénéficiaires à Fianarantsoa
  • Développement - Le Président veut enclencher la vitesse supérieure 
  • ACTU-BREVES
  • Actu-brèves
  • Réhabilitation de la RN7 - Le Président annonce des travaux imminents
  • Regards croisés sur la corruption à l'aéroport d’Ivato - Douanes et Sécurité publique s'expriment
  • ACTU-BREVES
  • Réinspection du Stade Barea - La non-homologation du stade confirmée

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

A bout portant

AutoDiff